
En 2020, la part de marché qu’occupe l’e-learning à l’échelle mondiale est de plus de 190 milliards de dollars. D’ici 2025, cette part de marché devrait atteindre les 325 milliards de dollars.
Les Etats-Unis sont aujourd’hui les plus grands adeptes de l’e-learning. Ils représentent presque 40 % du marché mondial. En seconde position, nous retrouvons l’Asie en matière de taille de marché e-learning. Les pays comme l’Inde ou encore la Chine sont ceux qui investissent le plus dans l’e-learning.
En effet, le nombre d’apprenants ne cesse d’augmenter au fil des années. Par exemple, l’Inde en 2016, regroupait environ 1.6 millions d’apprenants. En 2021, le nombre d’apprenants indiens devrait atteindre les alentours de 9,6 millions. Dans les pays occidentaux, le marché de l’e-learning se développe de plus en plus. Sa croissance prend un peu de temps, mais augmente de manière importante chaque année.
En Europe, l’e-learning se démocratise de plus en plus et devient un élément indispensable de la formation. En France, la part des formations d’entreprises dispensées uniquement en présentiel ne s’élève qu’à 19 % ! En effet, 92 % des entreprises françaises ont adopté le blended learning. Dans le secteur public, 70 % des formations sont dispensées en blended learning.
Comme nous pouvons le constater, l’e-learning est aujourd’hui une partie importante de la formation. Les entreprises ou écoles ont de plus en plus recours à cette bonne pratique. Cela est d’autant plus compréhensible en raison des avantages que l’e-learning apporte :
- Coût réduit
- Formation ludique et motivante
- Accessible partout, à n’importe quel moment et sur différents appareils technologiques
- Gain de temps
- Expérience de formation originale (gamification, certification, etc.)
L’e-learning dans le monde ne cesse d’évoluer, plusieurs technologies fusionnent avec cet outil comme l’intelligence artificielle, la réalité virtuelle et pleins d’autres. Il est sûr que dans un futur proche, les moyens mis à disposition autour de l’e-learning ne vont qu’augmenter tout comme le nombre de pays enclin à utiliser ce mode d’apprentissage.